(Ce texte de François Falardeau a été originalement publié dans Le Feu Ardent, volume 1, numéro 2, septembre 2011.)
Au moment de la parution du bulletin, mon frère, Louis Falardeau, est décédé. Père de cinq enfants, ancien journaliste de La Presse, il manquera beaucoup à sa famille et à ses amis.
Nous consacrerons un article à sa vie, tant personnelle que professionnelle, dans le prochain numéro. Je veux aujourd’hui lui rendre hommage comme un des premiers artisans de l’Amicale, dont il fut le membre numéro 2 et le réviseur des textes depuis les premiers bulletins. Adieu Louis, tu nous manques!
J’en profite pour souhaiter un prompt rétablissement à mon frère Yves, responsable de la mise en page du Feu Ardent, qui se remet d’une sérieuse opération.